Un jeu dangereux pour satisfaire les envies de cage de chasteté

Je suis un homme d’une cinquantaine d’années. J’aime les jeux SM et le travestissement. Bien que le NET ait facilité les rencontres, il n’est toujours pas facile de trouver chaussure à son pied.

Il y a beaucoup de soumis et peu de dominatrices. Et puis, il est difficile de sauter le pas entre virtuel et réel.

J’ai eu quelques expériences réelles satisfaisantes pour les unes, décevantes pour les autres mais toujours sans suite. J’ai eu aussi pas mal de « rencontres » virtuelles par cam interposée sur MSN ou sur des sites de diffusion de webcam (cam4) et aussi sur des sites gays.

Au fil du temps, les fantasmes évoluent. Les bases ne changent pas, mais les situations, les accessoires évoluent. En ce moment, je flashe sur la chasteté.

Être enfermé dans une petite cage, ne plus disposer de mon sexe pour me donner du plaisir être dépendant d’une tierce personne pour me libérer me donne des frissons.

Bien sur, avant de confier la clé de mon plaisir à quelqu’un (homme ou femme) il faut avoir une confiance presque absolue.

Après avoir longtemps hésité sur le modèle, j’ai fini par céder à mes fantasmes et j’ai commandé une cage de chasteté sur MEO TEAM. J’ai regardé les tailles, les systèmes de fermeture et de verrouillage. Certaines me plaisaient beaucoup mais ne convenaient pas à ma bourse.

Les jours qui ont suivi ma commande ont été longs. J’étais fébrile, excité, un peu inquiet de la discrétion du colis, etc.

et puis le grand jour est arrivé. La factrice a déposé dans ma boite à lettres le colis tant attendu.

Je montais rapidement chez moi avec le précieux paquet. Je l’ouvris à peine la porte d’entrée refermée derrière moi.

Je déchirais le papier d’emballage et ouvrais la boite. Je sortis la cage, elle avait l’air petite. Je me demandais si mon sexe allait tenir dedans. Pour le moment impossible de tenter l’expérience, mon sexe était raide, je bandais comme un cerf.

Je posais la cage sur la table et allais vaquer à mes taches ménagères, célibat oblige, en espérant que ces activités me changeraient les idées et feraient perdre de sa superbe à mon sexe.

Au bout d’une demi-heure de ménage, mon sexe était au repos. Je revenais dans le salon j’eus juste le temps de passer la bague derrière mes couilles avant qu’une nouvelle érection interrompe mon essai.

Je décidais de me masturber pour pouvoir continuer l’essai. La jouissance ne fut pas longue à venir. Il me suffit de penser que je portais la cage et que la clé n’était pas disponible, que je ne pouvais pas ouvrir le cadenas si l’envie m’en prenait. Par habitude, j’éjaculais dans ma main et avalais le tout. Je léchais bien ma main. « Pas de pertes » comme m’ont dit tous les maîtresses ou les maîtres rencontrés sur le net.

Dés que je le pus, je rentrais ma queue dans la cage et la verrouillais. Voila, ma virilité était en cage, plus possible pour elle de se développer et de faire la fière.

Je fis quelques photos. J’en mis une sur ma page d’accueil MSN et allais sur un site de webcam montrer ma nouvelle acquisition.

J’eus rapidement quelques voyeurs. Ils voulurent bien sur savoir qui avait la clé. Je leur montrais la clé. Je leur expliquais que j’avais prévu de la mettre dans une bouteille pleine d’eau et au congélateur. Certains déclarèrent qu’une bouteille fondrait trop vite, qu’il fallait prendre un bidon de 5l au moins, le remplir à moitié, faire geler cette moitie, poser la clé sur la glace au centre du bidon, mettre deux cm d’eau, la faire geler puis de compléter jusqu'à remplissage complet du bidon. Port de la cage garanti au moins une journée après la décision de l’enlever.

C’est une façon de perdre un peu la direction des événements. Je leur ai dit que je testais d’abord le port prolongé, voir si il n’y avait pas de problème d’irritation, etc., mais que je reviendrais pour leur montrer le bidon avec la clé prisonnière.

Cette discussion eut un effet sur ma queue qui bien que prisonnière dans sa petite cage, voulut avoir l’air d’une grande. Cela m’a permis de vérifier le bon fonctionnement de la cage. La cage n’a pas bougé, ni cédé un pouce à ma tentative d’érection. La douleur du au confinement a rapidement calmé mon érection. J’étais devenu « impuissant ».

Si le port permanent ne posait pas de problème d’irritation, d’hygiène, j’allais pouvoir ranger la clé dans son bidon, bien au fond de mon congélateur en attendant de trouver un autre système plus indépendant de ma volonté.

Je portais la cage pendant trois jours sans la retirer. Au bout de ce laps de temps, aucune irritation, pas de problème pour la toilette, elle était assez discrète sous mes vêtements, juste un inconfort pour uriner mais ça fait partie intégrante du port d’une cage de chasteté.

Je décidais donc de geler ma clé. Entre temps je m’étais procuré un bidon de 5L que j’avais rempli à moitié et mis au congélateur. J’allais sur le site de webcam de l’autre jour et branchais ma cam. Je montrais ma cage et le bidon. La discussion ressemblât à celle de la première fois. Je fis tomber la clé dans le bidon, je le plaçais au centre puis la recouvrit de 2-3cm d’eau. Grâce à mon PC portable, je montrais aux voyeurs le bidon dans le congélateur puis refermait le couvercle. Quelques heures après, je rajoutais de l’eau. A la fin de la journée, le bidon était plein.

Je n’envisageais pas de la retirer mais on ne sait jamais. J’envisageais donc les différentes solutions: la patience, un serrurier ou un coupe-boulons. La solution du serrurier n’étant pas envisageable, il en restait deux. La patience, il faudrait que je teste la vitesse de fonte de l’eau dans le bidon, le coupe-boulons, il suffit d’aller dans une grande surface, mais pas question de l’acheter maintenant, seulement en cas de problème urgent…

Je portais maintenant la cage en permanence. Au début, des tentatives d’érections nocturnes me réveillèrent, puis elles disparurent. La journée, je n’avais pas de problème particulier. Je me suis quand même demandé si le cadenas apprécierait longtemps la douche quotidienne. Est-ce que l’eau qui rentrait dans la serrure n’allait pas gripper le mécanisme intérieur, par précaution, j’ai fait couler un peu d’huile de vaseline dedans.

Une fois par mois, je m’autorisais à jouir. Je retirais la cage et je me donnais un temps, en général pas plus de 5minutes, pour jouir. Après une petite toilette, je remettais la cage et verrouillais le cadenas.

Bien que je n’ai pas de possibilité de retirer la cage facilement, j’étais encore trop autonome à décider de son ouverture. J’avais envie de dépendre de quelqu’un. Je voulais être dans l’impossibilité de l’enlever de mon propre chef, ne pouvoir être libre qu’en fonction du bon vouloir de quelqu’un ou de quelqu’une.

Je réfléchis donc à une autre façon de mettre la clé hors de portée de mes envies.

Je finis par trouver une idée. Si cette idée prenait forme, la clé serait indisponible pour une durée indéterminée, voire à jamais… Dans ce cas, il resterait le coupe-boulons, ou la chasteté définitive (qui si l’idée m’excite, je doute d’être capable de la vivre).

L’idée était la suivante: mettre la clé dans une enveloppe avec un texte expliquant l’usage de la clé, l’adresse de mon blog, une enveloppe avec mon adresse pour le renvoi de la clé, et la poster avec une adresse inexistante. Normalement la lettre qui ne parvient pas à son destinataire est retournée à son expéditeur sauf si la poste n’a pas d’adresse au dos. Dans ce cas, la lettre part à Libourne ou elle est ouverte pour trouver une adresse de renvoi à l’intérieur.

Je suis sur que vous commencez à comprendre ou je veux en venir.

Je réfléchis donc à cette idée. Cela me mit dans un état de fébrilité, d’excitation, de crainte, par moment, je me traitais de fou. Mais après tout, je ne portais préjudice à personne…

Qu’allais-je mettre dans l’enveloppe ? La clé bien sur mais je voulais y rajouter autre chose afin que ceux qui ouvriraient l’enveloppe sachent à quoi servait a clé.

Qu’ils rient de moi, qu’ils se moquent et pourquoi pas qu’ils ajoutent un commentaire avec la clé.

Je préparais donc une enveloppe timbrée avec mon adresse et je rédigeais une lettre sensée être de ma maîtresse.

Bonjour à vous qui venez d’ouvrir cette enveloppe,

vous êtes sans doute surpris de trouver dans celle-ci une petite clé. D’après vous que peut elle bien ouvrir ?

Compte tenu de sa taille, sans doute un petit cadenas me direz vous et vous avez raison.

Mais que ferme ce petit cadenas ????

La, ca devient plus difficile. Il peut y avoir tellement de choses qui peuvent être fermée par un cadenas…

je vous laisse réfléchir un peu,

vous ne trouvez pas ???

Alors je vais le dire : cette petite clé ferme une petite cage empêchant ainsi le petit oiseau qui y réside de sortir.

Mais, me direz-vous, pourquoi envoyer la clé d’une cage à une adresse inexistante ???

C’est du à mon coté pervers… en effet, je suis la Maîtresse virtuelle d’une petite salope travestie. Elle a souhaité m’offrir la libre disposition de son petit oiseau (l’inconsciente….). En conséquence, j’ai choisi de le mettre en cage. La cage évoquée plus haut est une cage de chasteté. Cage qu’elle porte en permanence depuis le 14/07/2010, date ou je lui es fait poster ce courrier. Maintenant, c’est à vous de décider si elle peut récupérer la clé et donner un peu de liberté à son oiseau.

Voila la lettre était prête. Il ne me reste plus qu’à inventer une adresse, l’écrire sur une enveloppe, y glisser la lettre, la clé, enveloppe pour le retour et trouver le courage de poster.

J’ai longtemps hésité à poster la lettre, elle est restée plusieurs jours sur la commode, prête à être déposer à la Poste.

Un matin, j’ai ouvert ma cage, je me suis branlé, j’ai joui deux fois de suite. Puis j’ai refermé la cage et me suis dépêché de passer à la Poste déposer la lettre.

Voila, c’était fait. A peine avais je posté la lettre que je me suis dit que j’avais peut être dépassé la limite du raisonnable. Je venais de me jeter à l’eau mais pourrais je tenir jusqu'à la berge ???

Quand la clé allait-elle revenir ? Allait-elle seulement revenir ?

J’étais enfermé pour combien de temps ???

Les jours passèrent sans nouvelles. A vrai dire je n’en attendais pas avant au moins un mois, le temps que la Poste essaie de trouver l’adresse puis fasse parvenir la lettre à Libourne.

Un mois passa : rien.

Ma queue était toujours enfermée, par moments, j’avais furieusement envie de me branler. J’ouvrais le congélateur, le bidon contenant la clé était la, à portée de main.

Mais je ne le pris jamais, j’avais voulu jouer avec le feu, je n’avais qu’a en assumer les conséquences…

Un deuxième mois passa sans nouvelle.

Et puis un jour, je reçus un mail. Je n’en connaissais pas l’expéditeur. Comme tout le monde, je reçois pas mal de courrier inutile, des pourriels comme disent certains. Ce genre de courrier va directement à la corbeille sans que je l’ouvre.

C’est ce qui faillit arriver à ce mail. Mais le sujet attira mon attention :

« j’adore les petits oiseaux… et vous ? »

J’ouvrais le mail. En fait l’expéditeur était une expéditrice.